Des estimations récentes indiquent que la moitié des filles éthiopiennes âgées de 15 à 19 ans ont subi une mutilation/excision génitale féminine (MGF). Il s’agit de déterminer si, et comment, les normes favorables aux MGF sont maintenues par la transmission sociale constitue une priorité essentielle pour les efforts mondiaux d’éradication.
Nous présentons ici la première étude à grande échelle sur les réseaux sociaux socio-centriques estimant l’influence sociale et la sélection sociale sur la préférence pour la mutilation de parentes féminines, en utilisant des données provenant de 5 163 adultes Arsi Oromo en Éthiopie…